SOMMAIRE

HISTORIQUE DU CLUB

BIOGRAPHIE DU FONDATEUR                             

LES PROFESSEURS

LES MEMBRES DU BUREAU

NOS GRAINES DE CHAMPION

INFORMATIONS DIVERSES

CONTACTS

HORAIRES

BIOGRAPHIE DU JUDO

HISTORIQUE DES BUDOS JAPONAIS

LES PREMIERS PAS DU JUDO

MAITRE JIGORO KANO

CODE MORAL DU  JUDOKA

L'EVOLUTION DU JUDOKA

LES PRINCIPAUX KATAS

LE JUDO EN FRANCE

DATES CLES DU JUDO FRANCAIS

LES GESTES DE L'ARBITRAGE

LEXIQUE

DERNIERES NOUVELLES

LOGO DU CLUB

NEWS :

 

Les inscriptions reprendront le Mardi 12 Septembre 2006 de 17h30 à 19h00.

 

Les cours de judo reprendront le Mardi 19 Septembre 2006 à 17h45, ainsi que le Jeudi 21 Septembre 2006 à 18h00.

 

Les cours de Jujitsu reprendront le Vendredi 15 Septembre 2006 à 21h00.

 

Pensez à vous munir d’un certificat médical lors de votre inscription.

 

Si vous souhaitez essayer la pratique du Jujitsu, le club offre trois séances gratuites.


JUDO CLUB DU PERTHOIS

JUDO ET JU JITSU

Pour pratiquer ces disciplines dans une ambiance conviviale, chacun à son rythme, entre amis.

HORAIRES

 

 

 

MARDI (Luc)               De 17h45 à 18h45        cours de Judo

                                      De 18h45 à 19h45        cours de Judo

 

 

JEUDI (Marc)              De 18h15 à 19h15        cours de Judo

                                      De 19h15 à 20h30        cours de Judo

 

 

VENDREDI (Denis)     De 19h30 à 21h00        cours de Jujitsu




Présentation : Ce site présente le judo sous tous ses aspects.

Les techniques debout

Les techniques au sol

Les katas

L'arbitrage

L'historique des arts martiaux et du judo.

 

Il s'accompagne d'un lexique franco-japonais et est agrémenté de nombreuses photos.

 

Le judo club du Perthois :

 

Le club a été fondé en 1984, il dispose de la salle d’entraînement de thieblemont prêtée gracieusement par la commune.

Cette année 95 judokas pratiquent régulièrement le judo et le Ju Jitsu.

Les cours de judo sont assurés par Luc léonard, professeur diplôme d’état, ceinture noire 5ème DAN.

Les cours du jeudi sont assurés par MarcLEONARD, professeur diplôme d’état, ceinture noire 5ème DAN

Les cours de JuJitsu sont assurés par Denis MARTIN, animateur, ceinture noire 4ème DAN.

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Une biographie du judo

 

L’art de la guerre remonte à la préhistoire comme la chasse.

Peut-on penser que les développements des techniques de guerre primitives (développement de différentes armes) soient une ébauche des arts martiaux ? Sans doute, non. Néanmoins, elles ont été une première étape. Elles ont dû être concomitantes avec la naissance de formes de lutte entre individus d’un même clan ou d’une même tribu contrairement à la guerre tournée contre d’autres clans.

L’art du combat remonte donc sans doute au début de l’humanité. Mais qui se rappelle son premier croche-patte ?

Les premières descriptions de combat sont sans doute celles :

- que Gilgamesh, roi légendaire d'Orouk, livre dans sa quête de l’immortalité. Ces écrits sumériens datent de 1800 ans av. J-C.

- du combat de David, roi Hébreu, contre le géant Goliath au X° siècle avant J-C.

- des descriptions des jeux olympiques de la Grèce antique et le Pancrace (lutte primitive)

- des jeux du cirque romain.

Ces combats bien qu’inscrits dans la vie sociale d’une civilisation sont encore loin des arts martiaux tels que nous les connaissons aujourd'hui.

Néanmoins des statuettes babyloniennes (- 5000 à - 3000 ans av. J-C.) nous montrent des combattants en position de lutte avec des saisies à la ceinture comme l’actuel « Sumo » japonais ou des blocages de coups de poings avec l'avant bras comme au karaté ou au kung fu.

Ces statuettes peuvent représenter des techniques d’art martial primitifs. De plus, les civilisations mésopotamiennes étaient suffisamment riches pour avoir des combattants professionnels.

Des échanges commerciaux entre la Mésopotamie et l'Inde existent depuis 2500 ans av. J-C. Une propagation de ces techniques vers l'Inde est donc possible.

Après la civilisation mésopotamienne, deux grandes civilisations se développèrent en Orient vers 500 av. J-C. en Chine et en Inde. Toutes les deux eurent des périodes de guerres et de paix sans doute plus favorables au foisonnement d'idées.

Ainsi vers 500 av. J-C. , Confucius développa sa philosophie et vers 300 avant J-C. , Lao Tseu fut à l'origine du Taoïsme en Chine. Tandis qu'en Inde avant le V° siècle avant J-C., Bouddha (prince) Gautama Siddhârta fut à l'origine de la philosophie bouddhiste.

Dès le début de notre ère, les échanges commerciaux puis, religieux s'établirent entre les deux civilisations. Des caravanes de marchands contournaient l'Himalaya sans doute accompagnées de gardes du corps (les routes étaient dangereuses) et de moines bouddhistes indiens qui allaient porter la philosophie de Bouddha en Chine et dans l'autre sens, de moines chinois qui venaient en pèlerinage en Inde sur les lieux de naissance de Bouddha.

Il se peut d'ailleurs que certains moines fassent aussi office de gardes du corps. De nombreux documents attestent que les chinois affectionnaient particulièrement les spectacles des acrobates venus d'Inde et de Méditerranée orientale.

Quoi qu'il en soit, même s'il est probable que des formes de combats soient nées spontanément en Inde ou en Chine, les échanges philosophiques des arts de combat (bouddhisme, confucianisme, taoïsme) sont à l'origine des arts martiaux modernes.

La légende veut que ce soit un moine indien Bodhidharma qui en 520 se rendit de Madras au monastère de Shaolin où il enseignât les premiers préceptes des arts martiaux et du bouddhisme Chan (Zen au Japon), notamment à travers des exercices respiratoires.

Légende ou pas, la diffusion des arts martiaux se fit dans tout l'Extrême Orient sur les traces de celles du bouddhisme (à l'ensemble de  la Chine, à la Corée, au Japon, et au sud-est asiatique. De nombreux arts martiaux semblent s'apparenter à la boxe du temple Shaolin.

Chaque pays, chaque région, en fonction de son histoire adapta ou incorpora les arts martiaux chinois.

Très influencé par la Chine, par la langue, par la religion Zen, la philosophie, le commerce, l'organisation politique, le Japon,  durant sa période féodale développa de nombreux arts de combat, notamment par les Samouraïs, et par les paysans contre les Samouraïs.

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Historiques des budos japonais :

 

Au cours de l'histoire du Japon, les Samouraïs jouèrent un grand rôle. Hommes d'épée, vaillants et solitaires, c'est le dernier des guerriers partant seul à la bataille et c'est aussi l'esthète qui peut apprécier la beauté d'une fleur de cerisier (symbole du judo). Il est aussi chef de troupe, défenseur de la paix, aristocrate, administrateur et le bras vengeur de son maître.

C'est au IX°, XI° siècle, qu'apparut le mot "Samouraï" qui signifie "ceux qui servent".

Cependant, les origines des samouraïs sont bien plus anciennes. Au début de notre ère, un clan (uji) prit le dessus sur les autres après moultes batailles et alliances. Aux environs de 200 avant J-C., son chef deviendra l'empereur du Japon, prétendant descendre de la déesse soleil, les autres seigneurs devenant des servants de l'empereur (en théorie) et donc des Samouraïs. La réalité du pouvoir est en fait exercée depuis toujours par un dictateur militaire Samouraï que l'on nommait Shogun.

Jusqu'à la période Tokugawa au XVII° siècle, le Japon vécut constamment en guerre. Le samouraï partait conquérir de nouveaux territoires pour son maître et les rônins (samouraïs sans maître) se livraient au plus offrant ou vivaient d'expédiant.

 

Cette période de paix permit aux samouraïs de développer philosophie, art et savoir vivre. La nécessité des jeunes hommes de la classe des guerriers de s'entraîner au bujutsi (les arts de combat à mains armées) commença à disparaître. Des activités aux antipodes des arts martiaux, comme la cérémonie du thé, l'art des arrangements floraux, la calligraphie se répandirent dans cette classe. La dégradation de l'éthique du samouraï durant cette période fit naître le bushido (voie du guerrier). Yamaga Soko (1622-1685) écrit "le samouraï est un être qui ne cultive ni ne produit ni ne commerce. Mais il est impensable qu'il n'ait aucune charge en tant que telle. Celui qui satisferait à ses seuls besoins personnels sans accepter de responsabilité serait à juste titre qualifié d'oisif. Aussi, doit-on se concentrer sur l'examen approfondi de son rôle.... Sa mission consiste à méditer sur sa condition, à rendre de bons et loyaux services à son maître, s'il en a un ; à cultiver sa fidélité dans des associations amicales et, eu égard à son propre état à se dévouer corps et âme à son devoir".

Certains recherchèrent donc la perfection spirituelle dans leur exercice d'entraînement martial. C'est ainsi que la perfection de la forme commença à l'emporter sur les aspects pratiques et fonctionnels des écoles de combats armés. Les "do" se développèrent au dépens des "jitsu". Le bushido touche essentiellement aux attitudes mentales et aux objectifs spirituels du guerrier. La signification du bushido est de faire quelque chose de sa vie, de laisser quelque chose derrière soi, puis d'être capable de rejeter son enveloppe humaine et d'accepter la mort. En aucun cas il ne s'agit d'aller au devant de la mort.

Les arts martiaux classiques du Japon ont toujours eu leurs écoles de combat à main nue mais le plus souvent comme forme auxiliaire des disciplines de combats armés. Vers le milieu du XIX° siècle, divers styles de ju-jitsu (art de la souplesse) dominaient les systèmes de combats à main nue (projection et atemi).

Une des conséquences de la domination Samouraï durant la période Tokugawa fut que les classes inférieures se retrouvèrent désarmées. En effet, si le samouraï se promenait avec, à la ceinture, ses deux sabres caractéristiques, les autres citoyens se voyaient interdire le port d'arme. Certes, un ancien baroudeur empâté et bureaucratisé ne devait pas constituer une bien grande menace, surtout si (comme c'était souvent le cas) un sabre de bois avait remplacé dans la gaine son arme déposée en gage. Par contre, il était particulièrement terrifiant de se trouver à nez à nez dans une ruelle sombre avec un rônin crevant de faim. Chacun craignait en effet ces samouraïs en mal de maître et prêts à tout (même au crime) par pauvreté ou désespoir. D'autant plus que ces samouraïs-là étaient capables de se battre...Les arts martiaux classiques du Japon ont toujours eu leurs écoles de combat à main nue mais le plus souvent comme forme auxiliaire des disciplines de combats armés. Vers le milieu du XIX° siècle, divers styles de ju-jitsu (art de la souplesse) dominaient les systèmes de combats à main nue (projection et atemi). L'apparition, suite aux exactions de certains rônins, d'une série de

 

 

 

techniques de combat destinées aux classes dominées, faisaient appel, non à des armes, mais à des

objets familiers et aux mains nues. Ces techniques nous sont parvenues sous la forme des budo ou arts martiaux samouraïs. En réalité, l'expression anti samouraïs aurait été plus exacte.

En 1867, l'empereur Meiji fit sortir le Japon de son monde post féodal. Il bouleversa de fond en comble l'ancien ordre social du Japon. L'une de ses premières décisions fut en 1876 de désarmer la classe des samouraïs. Date à laquelle le Satsuma "groupe politique terroriste" comptait 7 000 étudiants samouraïs armés jusqu'aux dents. Lors de la bataille de Kagoshima, les samouraïs furent défaits par l'armée impériale régulière. C'en était fini des samouraïs.

L'esprit samouraïs s'était infiltré dans le rang de la nouvelle armée impériale et de toute la société Japonaise.

 

 

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 Les premiers pas du judo

 

Le judo a été créé par Kano après plusieurs années de Tenjinshinyo-ryu avec maître Fukuda. Après la mort de maître Fukuda, il crée dès 1882 le judo du kodokan (institut du grand principe). Le Judo Kodokan est basé sur trois grands principes: l'instruction physique, l'habileté et le mental.

Son premier dojo compte neuf disciples, le kodokan déménagera à plusieurs reprises. Au cours des années qui suivirent entre 1886 et 1889, le Kodokan s'imposa comme l'école dominante grâce à la victoire de cette école au cours d'un grand tournoi contre l'école yoshin-ryu-ju-jitsu. Kano impatient d'ouvrir son école et n'ayant pas de diplôme avait déchaîné la colère des autres écoles qui étaient venu l'affronter. Il avait du pour ça louer les services de grands champions de l'époque tels que Shiro Saigo. Au cours de ces mêmes années, la fusion des vieilles techniques s'établit. (Kano fit une synthèse des meilleures techniques de Ju-Jitsu, la nouvelle forme du Judo se vit débarrassée de l'esprit féodal et des techniques dangereuses (l'atémi-waza disparaît au profit des projections et immobilisations plus propices à l'assaut sportif). De nouvelles méthodes d'entraînement furent ainsi établies, les ukémi firent leur apparition et le judogi est utilisé pour l'entraînement.

Le judo prend véritablement son essor à partir de 1905 où les universités et écoles commencent à l'enseigner, Jigoro Kano continuera à promouvoir le Judo à travers le monde au cours de plusieurs voyages à travers l'Europe et les Etats-Unis et ceci jusqu'à sa mort en 1938.

 

 

 

 

 

 

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MAITRE JIGORO KANO

 

 
 

 

 

Né le 18 octobre 1860 à Mikage, dans le district de Hyogo, il était le troisième fils d'un intendant naval. De nature chétive et ayant une santé plutôt fragile le jeune homme décide de fortifier son corps grâce à la pratique de sports tels que la gymnastique et le base-ball. Ces activités s'avèrent vite trop dures pour sa faible constitution. En 1877, il décide alors d'étudier le ju-jitsu, son premier professeur est maître Hachi-nosuke Fukuda de l'école Tenjjin-Shinyo-Ryu.

Il entre la même année à l'université impériale de Tokyo. Sous la conduite de maître Fukuda, Kano s'initia aux mystères du Ju-Jitsu de l'Ecole du Coeur de Saule. A la mort de Fukuda Kano hérita de ses archives et devint l'élève de maître Iso de l'école Tenjin-Shingo. Jigoro Kano continue ses études tout en s'entraînant et devint bientôt vice directeur de l'école, mais malheureusement son maître mourut et Kano se retrouva de nouveau sans professeur. Il étudia tous les documents possibles mais un bon professeur lui restait indispensable, ce fut le maître Likubo de l'école de Kito. C'est là qu'il apprit l'art du combat en armure.

Peu à peu Kano fit la synthèse des diverses écoles et voulut créer sa propre discipline, il s'entraînera avec le maître Likubo jusqu'en 1885. En 1881 il obtient sa licence de lettres. En 1882 à l'age de 22 ans alors qu'il a terminé ses études de sciences esthétiques et morales; il s'installe dans le petit temple bouddhique d'Eishosi, secte Jôdo. C'est dans ce temple berceau du Judo, que Jigoro Kano installa son premier Dojo (salle où l'on étudie "la voie") ou le Kodokan. Il décide de se distinguer des autres écoles en changeant le nom de la discipline en "Judo". Mais en créant cette école il déchaîne la colère des autres maîtres car il n'a aucun diplôme l'autorisant à le faire. Comme le veut l'usage les élèves des autres écoles vont venir affronter ses élèves. Kano n'a pas les moyens techniques de le faire, il loue alors les services des plus grands champions de Ju-Jitsu de l'époque comme Shiro Saigo qui défendra avec succès la nouvelle école, il en deviendra même l'instructeur.
Durant cette même période, Kano est nommé professeur au Collège des Nobles, en 1888 il en deviendra recteur.

En 1889 commence son parcours à travers l'Europe en tant qu'attaché au ministère de la maison impériale. En 1891 il est nommé conseillé du ministre de l'éducation nationale. En 1893 il obtient le poste de secrétaire du ministre de l'éducation nationale; il obtient le 5eme rang impérial en 1895.

Il fonde l'institut Zenyo Seiki et édite la revue "kokusai". En 1898 il devient directeur de l'Education primaire au sein de l'Education nationale. Un an plus tard, il devient président du comité butokukai (centre d'étude des arts militaires). Après deux missions en Chine et l'obtention du 5ème rang impérial il fonde au Butokikai les trois premiers katas de Judo en 1907.

En 1909 il modifie les statuts du Kodokan pour en faire une société publique. C'est aussi le premier japonais membre du comité olympique, il est élu premier président de la fédération sportive du Japon.

En 1912 et 1913, il est envoyé en mission culturelle en Europe et en Amérique, deux ans après il crée le revue Kodokan et reçoit du roi de Suède la médaille des septièmes jeux olympiques.

 

 

A partir de 1920 il se consacre entièrement au Judo. En juin il assiste aux jeux olympiques d'Anvers et en profite pour visiter l'Europe. En 1921 il démissionne de la présidence de la fédération sportive du Japon, en 1922 il siège à la chambre haute, puis en 1924 est nommé professeur honoraire de l'école normale supérieure de Tokyo

En 1928, il participe à l'assemblée générale des jeux olympiques et aux jeux eux-mêmes. Il se rend aux Etats-unis en 1932 pour assister aux jeux olympiques. Il devient conseiller au cabinet de l'éducation physique du Japon, il participe à deux reprises au conseil des jeux olympiques. Il assiste en 1936 aux jeux olympiques de Berlin.

Le 4 mai 1938, il meurt d'une pneumonie sur le navire qui le ramène du Caire où avait lieu l'assemblée générale du comité international des jeux olympiques. Il recevra le 2ème

 rang impérial à titre posthume.

 

 

 

 

                                                                                                                         

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CODE MORALE



La Politesse

C'est le respect d'autrui

 

Le Courage

C'est de faire ce qui est juste

 

La sincérité

C'est s'exprimer sans déguiser sa pensée

 

L'honneur

C'est d'être fidèle à la parole donnée

 

La modestie

C'est parler de soi-même sans orgueil

 

Le Respect

Sans respect aucune confiance ne peut naître

 

Le contrôle de soi
C'est de savoir se taire lorsque monte la colère

 

L'amitié

C'est le plus pur des sentiments humains

 

 

 

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L'EVOLUTION DU JUDOKA

         Ceinture blanche :                  première ceinture

Ceinture jaune blanche :         2ème année de judo

         Ceinture jaune :                      3ème année de judo

Ceinture jaune orange :           4ème année de judo

         Ceinture orange :                    5ème année de judo

Ceinture orange verte :           6ème année de judo

         Ceinture verte :                       7ème année de judo

         Ceinture bleue :                      8ème année de judo

         Ceinture marron :                   9ème année de judo

         Ceinture noire :                       10ème année de judo

         Ceinture rouge blanche :         16ème année de judo

         Ceinture rouge :                      18ème   année de judo

 

 

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            Les principaux KATA

Les katas sont l'éthique du judo.Dans ceux-ci se trouve l'esprit du judo, sans lequel il est impossible d'apercevoir le but.
Jigoro Kano

 NAGE NO KATA

 Ce Kata doit être démontré dans l’esprit de l’application idéale des règles théoriques des projections. Il se compose de 15 techniques de projections, groupées en 5 séries de 3 mouvements chacune. Selon son créateur, Jigoro Kano Sensei, il couvre trois directions d’étude : l’attaque et la défense en Judo debout (Nage-Waza), les mouvements du corps (Tai-Sabaki), les déplacements (Shintai). C’est le seul Kata dans lequel les mouvements sont démontrés des deux côtés, en symétrie et en alternance.

Tori et Ike doivent s’attacher à les exécuter en fluidité d’un bout à l’autre du Kata, sans précipitation ni brutalité, dans un esprit de sincérité et de confiance réciproque.

Tori et Uke entrent sur l'aire de démonstration, Tori par la droite et Uke par la gauche par rapport au Joseki. A environ 4 mètres l'un de l'autre, ils se tournent vers le Joseki et font le salut debout (Ritsurei).

Puis ils se tournent à nouveau l'un vers l'autre pour se saluer à genoux (Zarei). Ils posent d'abord le genou gauche au sol, puis le droit, orteils relevés. Les genoux sont sur une même ligne, écartés d'environ deux largeurs de poings. Ils allongent ensuite les pieds et s'assoient sur les talons, buste droit, mains posées sur les cuisses. Tori et Uke se saluent en posant les paumes à plat sur le sol, doigts joints et un peu tournés vers l'intérieur et en inclinant le buste vers le partenaire (en gardant le dos droite et sans décoller les fesses des talons). Ils se relèvent en refaisant ces gestes en sens inverse, d’abord genou droit, puis genou gauche. Ils s'avancent l'un vers l'autre, pieds glissants à la surface du tatami, d'un pas du pied gauche puis d'un autre du pied droit, pour adopter la position naturelle, pieds parallèles écartés, Shizen hontai. De là, l'un et l'autres continuent à se rapprocher en marche naturelle (ayumi ashi) jusqu'à distance de Kumi Kata (saisie fondamentale).

A noter que si la surface de démonstration est trop petite, Uke reste en place une fois qu'il a passé en Shizen hontai et seul Tori se déplace vers lui.

 KATAME NO KATA 

C'est le kata des contrôles, il contient tous les principes de base des différentes techniques du judo au sol (ne-waza). Il est composé de trois séries de cinq mouvements

1. osaekomi-waza

(Techniques d'immobilisation):

·     kuzure-gesa-katame (contrôle latéro-costal)

·     kata-gatame (contrôle par l'épaule)

·     kami-shiho-gatame (contrôle arrière sternal)

·     yoko-shiho-gatame (contrôle latéro-sternal)

·     kuzurekami-shiho-gatame (variante du contrôle arrière sternal)

2. shime-waza

(Techniques d'étranglement)

·     kata-juji-jime (étranglement croisé)

·     hadaka-jime (étranglement arrière par l'avant-bras)

·     okuri-eri-jime (étranglement arrière par le revers)

·     kata-ha-jime (étranglement par contrôle d'un bras)

·     gyaku-juji-jime (étranglement croisé facial)

3. kwansetsu-waza

(Techniques de luxations):

·     ude-garami (luxation en torsion)

·     ude-hishigi-juji-gatame (luxation en croix)

·     ude-hishigi-ude-gatame (luxation en hyper extension)

·     ude-hishigi-hiza-gatame (luxation du bras par le genou)

·     ashi-garami (luxation de la jambe)

 


 

 

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Le judo en France

Si l'on néglige les quelques démonstrations qui furent organisées en France, au début du siècle, on peut affirmer que le Judo et le Jujitsu firent leur apparition en 1925, à Paris. En effet, à cette date, Aida, un japonais 5ème dan, l'enseignait à l'un de ses compatriotes, Ishiguro, donnait des cours au Sporting Club à quelques élèves qui ne persévérèrent d'ailleurs pas.

Quelques temps après, une salle de Judo fut créée dans le cadre d'un club d'escrime, le cercle Hoche et d'Anjou. Le professeur Hirama, 4ème dan, était japonais lui aussi. Il enseignait le Judo " à la japonaise ", sans chercher à appliquer une pédagogie avec le tempérament français. Le résultat ne se fit pas attendre : après des débuts prometteurs, ce fut l'échec.

Cependant, quelques hommes en France s'intéressaient au Jujitsu, parmi lesquels un jeune savant d'origine israélite et de nationalité britannique : Feldenkrais. Il avait eu le privilège de rencontrer Jigoro Kano en 1933 lors d'un des voyages de ce dernier en France. Feldenkrais partageait son enthousiasme avec quelques autres scientifiques dont Frédéric Joliot-Curie et Paul Bonet-Maury qui devaient devenir le premier président de la Fédération Française. La prodigieuse aventure du Judo français devait commencer à l'arrivée d'un japonais 4ème dan, Kawaishi, ancien élève de l'Université de Waseda, qui après avoir parcouru une grande partie du monde, décida de se fixer en France. 

Kawaishi ouvrit donc le Club franco-japonais à Paris, 62, rue Beaubourg, dans une salle où déjà quelques adeptes de Jujitsu tentaient de s'initier. Le premier élève qui vint s'inscrire fut un boulanger, nommé Maurice Cottereau, quelques autres suivirent. Feldenkrais fonda le Jujitsu club de France dans les locaux de l'école des Travaux publics, 1, rue Thénard. Kawaishi y donnait des leçons particulières. Il n'appliquait pas encore de méthode et enseignait en faisant appel à son bon sens et à sa grande psychologie, veillant surtout à rendre ses leçons attrayantes et variées.

1938 fut marqué par deux événements : le premier fut la fusion de Jujitsu Club de France et du Club franco-japonais ; le second, la nomination de Kawaishi au grade de 5ème dan par Jigoro Kano, lors de son dernier voyage en France. Puis la guerre arriva, Feldenkrais partit ainsi que beaucoup d'autres élèves et Kawaishi devait rester seul au Jujitsu Club de France avec quelques pratiquants.

Pendant cette période de contraintes et de privations, le Judo était, pour ses rares adeptes, à la fois une distraction et presque une espérance, ce qui permit à Kawaishi de continuer son oeuvre. Le Jujitsu Club de France dut déménager et s'installer 10 bis, rue de Sommerard. Dès 1942 et 1943, Kawaishi avait formé une vingtaine de ceintures noires, dont certaines ouvraient à leur tour, des salles.

L'intelligence de Kawashi lui permit d'analyser et de comprendre la mentalité des occidentaux et ainsi d'adapter son enseignement. Sa fameuse méthode, tour à tour, admirée et critiquée, lui permit, c'est un fait, d'implanter le judo dans un grand nombre de pays d'Europe. Kawaishi avait surmonté les difficultés devant lesquelles ses compatriotes avaient succombé avant lui : il avait su révéler, le premier, et diffuser largement en occident une discipline dont les principes différaient des conceptions établies et des idées reçues concernant le sport dans notre pays.

En 1946, la Fédération Française de Judo et Jujitsu voyait le jour, présidée par Paul Bonet-Maury. En 1947, le Collège des ceintures noires était officiellement créé. En 1948, il n'y avait pas encore 100 ceintures noires ; dix ans après, il en avait 1 000. En 1974, on compte près de 20 000 ceintures noires, 5000 clubs répartis sur le territoire métropolitain, les TOM et DOM. Aujourd'hui, la FFJDA a dépassé le demi million d'adhérents licenciés (580 000 en 2002)et compte 35 000 ceintures noires.

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 DATES CLÉS du JUDO FRANCAIS

 

1860

Naissance de Jigoro Kano, fondateur du Judo.

1882

Début du Judo Kodokan, méthode d’enseignement de Jigoro Kano.

1889

Premier voyage d’étude de Jigoro Kano en Europe.

1909

Le Kodokan, association privée, devient un organisme reconnu légalement,

 

Jigoro Kano est le premier représentant Japonais du Comité International Olympique.

1911

Création interne officielle d’une section de formation de professeurs de Judo au Kodokan.

1922

Création d’une section "l’association Culturelle du Kodokan" basée sur les principes du "meilleur emploi de l’énergie" et de la "prospérité mutuelle".

1930

Premiers championnats de Judo, au Japon, à caractère officiel.

1932

Création d’une section "l’association pour l’étude Médicale du Judo" au Kodokan.

1938

Décès de Jigoro Kano.

1946

Création de la Fédération Française de Judo, Président Monsieur Paul Bonet-Maury.

1948

Création de la Fédération Européenne de Judo, Président, Monsieur Torti.

1951

Création de la Fédération Internationale de Judo, Président Monsieur Risei Kano.

1956

Premiers championnats du Monde masculins seniors (Tokyo).

1961

La France organise pour la première fois, les championnats du Monde de Judo.

 

Victoire d’Anton GEESINK, Premier Européen à vaincre les Japonais.

1964

Premiers Jeux Olympiques pour le Judo, à Tokyo, comme sport de démonstration.

1972

Le Judo est définitivement reconnu comme sport olympique, Jeux Olympiques de Munich.

1975

Jean-Luc ROUGE devient le premier champion du monde Français à Vienne (Autriche).

1980

Premiers championnats du Monde féminins (New York). Jocelyne TRIADOU devient la première championne du monde. Thierry REY et Angelo PARISI sont champions olympiques à Moscou.

1982

Championnats du Monde féminins (Paris).
Béatrice RODRIGUEZ, Martine ROTTIER, Brigitte DEYDIER, Natalina LUPINO sont championnes.

1988

Le Judo féminin, sport de démonstration aux Jeux Olympiques (Séoul).
Marc ALEXANDRE est champion olympique.

1992

Cécile NOWAK et Cathy FLEURY deviennent championnes olympiques à Barcelone.

1994

La première coupe du Monde masculine par équipes de nations a lieu à Paris, la France est vainqueur.

1996

Marie-Claire RESTOUX, David DOUILLET et Djamel BOURAS sont champions olympiques à Atlanta.

1997

David DOUILLET, Marie-Claire RESTOUX, Séverine VANDENHENDE et Christine CICOT décrochent la médaille d’or aux championnats du Monde à Paris.

1999

Larbi BENBOUDAOUD devient Champion du Monde à Birmingham.

2000

Jeux Olympiques de Sydney.
Séverine VANDENHENDE est Championne Olympique et David DOUILLET décroche son 2ème titre Olympique et devient le Judoka le plus titré de tous les temps.

2001

Championnats du Monde de Munich.
Céline LEBRUN et Frédéric DEMONTFAUCON  deviennent médaillés d’or.

 

 

 

 

 

 

 

 

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LES PRINCIPAUX GESTES D’ARBITRAGES :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

IPPON

 

WAZA-ARI

 

YUKO

 

 

 

 

KOKA

 

OSAEKOMI

 

TOKETA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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LES ADHERENTS

Le club représente environ 95 licenciés. Il reçoit tous les ans de plus en plus d’adhérents.




LES PROFESSEURS ET LES ANIMATEURS
Professeur de Judo

Luc LEONARD

Professeur de JUDO

5ème DAN

Professeur de JU JITSU

Denis MARTIN

Animateur de JUJITSU

4ème DAN


Professeur de JUDO

Vincent LEONARD

Animateur de JUDO

2ème DAN


Animateur Ju Jitsu

Jean-Claude MOLIN

Animateur de JUJITSU

1ère DAN


Les membres du bureau :
Président

Alain MOREL

Président


TITI

Nadège BALLAND

Secrétaire


Sabrina DUCRET

Trésoriére


Béatrice BOUTSCOQ

Membre du bureau


Aurore LE PENNEC

Membre du bureau




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GRAINES DE CHAMPION AU JUDO CLUB

 

 

Cela fait maintenant 6 ans qu’Alexis Boudscocq et Alexis Parageau pratiquent leur sport favori sur les tatamis du judo club du Perthois, encadrés par leur professeur LUC LEONARD.

Et c’est en sa compagnie, que ces 2 jeunes sportifs ont décidé de gravir les échelons en participant à divers championnats.

En effet, le 3 avril, Alexis Boudscocq s’était qualifié 2ème départemental dans la catégorie de moins de 46kg à MONTMIRAIL, tandis que son copain Alexis Parageau prenait la 3ème place ainsi qu’un diplôme du meilleur comportement.

Ces 2 jeunes espoirs ont récidivé dimanche 22 mai à TAISSY en participant aux championnats régionaux benjamins (30 clubs étaient représentés) et ils ont eu raison puisqu’ Alexis Boudscocq a pris la place du 3ème (-46kg) et Alexis Parageau 2ème (-34kg).

Fiers de leurs performances et de leurs médailles, ces deux graines de champion, qui viennent d’obtenir la ceinture verte, souhaitent continuer sur les traces de leur professeur.

« Les championnats sont difficiles car il y a les meilleurs… et sans le soutien de Luc, nous n’y serions jamais arrivés ».

Mais le virus est donné, ils vont continuer avec l’aide de leurs familles qui n’hésitent pas à se déplacer.

En attendant, ces 2 champions continuent d’évoluer les mardis et auparavant les samedis en rêvant à d’autres compétitions et podiums.

 














                                                   
                                                     


 


 

 

 

           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et voici les grands champions

 

Zone de Texte:

 

 

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INFORMATIONS DIVERSES :

 

Notre club met en place tout les ans pour les enfants un noël du judo, un gala pour récompenser les judokas, une sortie et un stage de judo

d’une durée d’environ une semaine.



Une assemblée de judokas très attentive, pour le nöel 2005 !!
  
La surprise des cadeaux.

 

 

 

 

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contacts

 

Vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante :

judoclubperthois051@free.fr

 

Pendant les cours de judo    le mardi soir de 17 h 30 à 20 h 00

le jeudi soir de 18 h 00 à 20 h 30

 

Pendant les cours de jujitsu  le vendredi soir de 19 h 30 à 21 h 00.


 

 

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Lexique:

 

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DERNIERES NOUVELLES

C’est avec grand plaisir, que certains membres du club ont participés aux manifestations de l’anniversaire du P’tit Gibus.

Remerciements aux enfants qui ont participés à ces démonstrations de judo devant un public attentif.

Remerciements aux adultes qui ont montrés quelques facettes du Jujitsu.




Nos jeunes Judokas

Une partie de l'équipe du Ju Jitsu                                   


 

Notre saison s’est terminée avec notre gala de fin d’année et la remise des ceintures à l’ensemble des élèves.